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12 février 2007 1 12 /02 /février /2007 18:31

Objectif 100

 

 

Upgrade your email with 1000's of emoticon icons  Par Patrick    

 

 

 

 

 

 

 

  

En 2002, Patrick s’est fixé un objectif ambitieux : courir 100 marathons. A Marrakech, le 27 janvier 2007, il est arrivé au bout des 42 km 195 pour la 85e fois. Son objectif à présent, c’est d’atteindre la barre mythique des 100 marathons d’ici la fin de l’année… 

Décollage vendredi 26 janvier 2007 à 14h30. Direction Marrakech. C’est ma 2ème participation à ce marathon exotique.
 

Arrivés à l’aéroport sans retard, nous changeons de l’argent immédiatement. Nous prenons ensuite un taxi pour nous rendre à l’hôtel. Nous négocions le prix de la course (Ne pas hésiter à négocier pour tout ce que l’on veut acheter).

L’hôtel est confortable et bien situé (à 200 m ; du lieu de retrait des dossards et environ un kilomètre du départ). Il se trouve en face d’un très beau parc avec vue sur l’Atlas enneigé.

Le lendemain nous allons retirer le dossard. Possibilité de s’inscrire soit par l’internet, soit sur place en présentant un certificat médical. Montant : 40 euros pour les étrangers. Cela donne droit à deux tee-shirts (c’est plutôt correct), un dossard avec une puce incorporée et une belle médaille à l’arrivée.

  

  Mon budget

 Coût total : 320 euros dont 280 euros (2 nuits à l’hôtel HARTI, 3 étoiles avec petit déjeuner inclus : Prestation correcte) + 40 euros (inscription au marathon)

  

   La Course

Départ à 8h30. Température : entre 3 et 12 degrés.

Upgrade your email with 1000's of emoticon icons Ciel un peu nuageux.

 

 

Organisation : enfin un vrai départ et une vraie arrivée.

 Aucun problème de ravitaillement (eau en bouteille). Marquage : tous les 2,5 km.

  

  Le Parcours

Il est plat, sauf les dix derniers kilomètres (faux plat). Sur le plan touristique, il est intéressant. On découvre les alentours de Marrakech avec en prime 9 km dans la palmeraie… sublime !  Une petite route traverse un endroit pittoresque avec villas, palmiers et chameaux.

  

  Ma Course

L’objectif était de préparer le raid de l’Atacama prévu le 18 février.

Un mal de gorge et un rhume m’ont obligé à gérer.

Temps final : 3h51. Temps de passage au semi : 1h54… donc un marathon équilibré.

 

  Conclusion

Population très accueillante. Organisation en très net progrès. En revanche, je conseille aux futurs participants à cette épreuve de prévoir un ravitaillement perso (barres de céréales, sucre, gels, ou autres…). Upgrade your email with 1000's of emoticon iconsUn marathon à faire dans un but touristique et sans prétention chronométrique. 

 

 

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10 février 2007 6 10 /02 /février /2007 17:53

  
Le marathon de Séville, une épreuve que Patrick a disputée en 2006. Il livre son sentiment sur cette course et en profite pour glisser quelques infos pratiques. 

 

 

 

 

 

 

Upgrade your email with 1000's of emoticon icons  Par Patrick      

 

 

 Vendredi 24 février 2006, direction Séville. 2h10 de vol depuis Paris.

Je me suis inscrit par internet (http://www.imd.sevilla.org/portada.htm),

coût : 15 euros. Voyage : Air Iberia + hôtel 3 étoiles + petit déjeuner 3 nuits : 300 euros. 

 

 Arrivée le vendredi à 15h, température extérieure : 19 degrés. Je suis allé chercher immédiatement mon dossard au stade de Séville (à 3 kilomètres de l’hôtel) où ont eu lieu les championnats du monde d’athlétisme en 1999. (Juste une petite parenthèse pour rappeler que ces championnats avaient été marqués par le record du monde de Michael Johnson sur 400 m en 43’’18). Super accueil. Je récupère ma chip (puce), le dossard, un équipement short et débardeur + un petit sac offert par l’organisation.

 

 Le samedi : visite de la ville, somptueuse avec sa cathédrale. Malheureusement, il pleut sans arrêt à partir de 15h. Je rentre à l’hôtel pour me reposer.

 Dimanche : jour J. Départ du marathon à 9h sur la piste d’athlétisme du superbe stade de Séville (il peut accueillir 70 000 spectateurs). L’organisation est parfaite. La température est de 10 degrés mais il fait beau, le ciel est dégagé. 

 

Dans l’ensemble, le parcours est parfaitement plat. Les ravitaillements sont bien pourvus (eau tous les 2,5 km). En revanche, il y a du vent. Un vent très souvent défavorable sur de longues lignes droites et de larges avenues. Entre le 30e km et l’arrivée, nous traversons tous les points touristiques de la ville. 

 

L’arrivée est fabuleuse puisqu'elle a lieu dans le stade. On nous offre une superbe médaille, un sachet ravitaillement bien pourvu et dès la ligne franchie, une grande serviette avec, en prime, un super réconfort de l’organisation. 

 

L’après-midi, la température atteint les 15 degrés avec toujours un ciel bleu et ensoleillé. Il fait 20 degrés le lundi, jour du retour sur Paris. 

 

 En conclusion : une superbe organisation que je compare à celle du marathon de Sénart car tout est fait pour satisfaire les besoins des coureurs.

 

 

 

 

 

Torre del Oro : tour maure qui abrite le musée de la marine

 

 

Patio de las Doncellas avec ses arcs maures dans les palais royaux de Séville (Reales Alcazares)

 

 

Azulejos à Séville (plaque de rue en céramique)

   

 

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27 octobre 2006 5 27 /10 /octobre /2006 14:47
Upgrade your email with 1000's of emoticon icons  Par Patrick
 

De retour sur sa distance de prédilection, Patrick a couru en 2006 le marathon de Lausanne en 3h22, son meilleur temps en trois participations à cette épreuve. Voici son récit.      

  20Vendredi 20 octobre 2006, 6h du matin. Départ en car de Savigny le Temple (77) avec le Défi Savignien. Direction Lausanne  

 Nous arrivons à 15h à Savigny en Suisse. Nous avons la chance d'être hébergés par nos cousins helvètes dans un abri atomique !.. une expérience inoubliable.

Au programme l'après-midi, un décrassage de 40’ sans forcer (car attention nous sommes quand même à 800 m d’altitude).
Le lendemain, c’est le moment d’aller chercher nos dossards. Tout se passe bien. L'organisation est parfaite. Dans l’après-midi, nous visitons le musée olympique (gratuit pour les marathoniens). 
 

 

 

20Jour J. Départ du marathon à 10h05.
Les conditions sont idéales : 18 degrés, pas de vent mais du soleil.
Le parcours est splendide. Nous longeons le lac léman avec les Alpes en toile de fond et de l'autre côté, les coteaux de vignes jusqu’à la tour de Pelz. Au retour vers Lausanne, le parcours est très vallonné. Cà monte et çà descend. Bien que ce soit ma troisième participation, je serais incapable de décrire avec précision le profil de la course. Je sais simplement qu’il s'agit d'une succession de côtes et de descentes.
Je passe au semi en 1h39’41. Et je reste très prudent car il commence à faire chaud (24 degrés) ce qui est inhabituel pour la période. Je passe le mur du 31e km sans encombre. Sur la fin, j'essaie de courir sur la partie de la route la plus ombragée car le soleil tape très fort à ce moment là.


Je termine en 3h22’58 (temps à mon chrono) et j'ai le plaisir d’améliorer mon temps à Lausanne par rapport à mes précédentes prestations : 3h28’ en 2001, 3h34 en 2005 (dans des conditions catastrophiques. Pluie continue jusqu'au 28e km et élongation au mollet droit au 18e km).



20En conclusion : parcours très vallonné. Je conseille de partir très prudemment, de bien choisir sa trajectoire en coupant car les routes sont très larges. Un superbe parcours. Une organisation au top.

A faire absolument.

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17 octobre 2006 2 17 /10 /octobre /2006 12:22

   Un record au goût amer

 

 

 

Upgrade your email with 1000's of emoticon icons  Avec un temps de 3h37’51 le 15 octobre 2006 à Amsterdam, j’ai, certes, battu mon record personnel sur marathon mais je n’ai pas atteint mon objectif personnel. Et de loin, puisque je voulais faire moins de 3h30. On apprend souvent à ses dépens et il est désormais clair pour moi qu’on ne court pas un semi à fond (180 pulsations de moyenne !) à trois semaines d’un marathon. Auparavant, j’avais battu à plusieurs reprises mon record sur semi dans le cadre d’une préparation marathon, mais ce semi avait lieu 5 semaines plus tôt (c’est apparemment suffisant pour récupérer).
 
 

 

Dimanche 15 octobre 2006, 10h30, stade olympique d’Amsterdam. Il fait gris et froid (9 degrés seulement) mais il y a toujours cette montée d’adrénaline en moi au moment du départ. C’est la magie du marathon qui parle. C’est parti pour 42 km 195 de bonheur et de souffrance.

Le début du parcours est très roulant mais la route étroite. Tellement étroite que je n’arrive pas à me ravitailler au 3e km. C’est la cohue, alors je continue... pas vraiment une bonne idée… Et en plus j’ai envie de faire pipi. Le prochain ravitaillement est au 10e. Celui-là je ne le rate pas. Je tiens les temps à 2 secondes près. La pause pipi ce sera au 15e km. Je prend mon temps, un peu trop peut-être… 50 secondes à rattraper sur mon objectif. A partir de là, je gagne deux ou trois secondes par kilomètre mais jamais complètement le retard accumulé.

  

Pire encore je commence à perdre un peu de temps. Le flot des coureurs longe l’Amstel au sud d’Amsterdam. Les encouragements des spectateurs donnent chaud au coeur mais la remontée du canal vers la ville est difficile car il y a du vent. Finalement je passe au semi en 1h45’27. Les sensations sont moyennes. Je sais déjà que la 2e partie sera dure.

 

Début des premières douleurs. Au mollet droit, pourtant inhabituel chez moi, mais rien d’alarmant pour l’instant. C’est plutôt le moral qui en prend un coup car je sais que je ne pourrai combler mon retard. Adieu les 3h29, bonjour la souffrance. Passé l’Amstel, un peu plus à l’abri du vent, je retrouve pourtant quelques forces et revient à une allure correcte de 4’58 au km ... jusqu’au 30e km.

 

 

Obligé de ralentir

  

D’un seul coup, je sens la douleur envahir mes deux jambes. Obligé de ralentir. Au ravitaillement suivant, je prends largement mon temps. La fin du parcours est piégeuse avec davantage de faux plats que dans la première partie du marathon. Ca casse bien quand on est déjà marqué par la course. Au 37e, je marche même sur 30 m. Il ne reste plus qu’à s’accrocher pour sauver les meubles : au moins battre mon record personnel (3h39’59).

  

Dans le Vondelpark, là-même où j’ai réalisé mon dernier entraînement avant la course, je lutte, je puise au fond de mon corps. Je visualise les personnes qui sont pour moi exemplaires. Et là, je ne peux plus m’arrêter, même si je ne suis plus qu’à une vitesse de 6’00 au kilo ! Bientôt l’arrivée. Les clameurs des spectateurs gagnent en intensité. Je reconnais l’Amstelveenseweg, la grande avenue qui mène au stade. Puis le stade. Là où Johan Cruijff et l’Ajax ont connu leurs heures de gloire au début des années 70.

  

Avant d’entrer dans l’enceinte, je vois face à moi les anneaux olympiques et la devise des Jeux. Des symboles qui me parlent. Obliger de tout donner… malgré la souffrance. Je termine au sprint devant un autre concurrent qui s’était pris au jeu. La ligne franchie on se sert la main. Un coureur me félicite, je fais de même. Tout est là : la fraternité… le record : 3h37’51… la médaille… mais aussi la désillusion de ne pas avoir atteint mon objectif. Courir un marathon sera à chaque fois et toujours quelquechose de spécial pour moi. La distance de l’épreuve impose l’humilité. Je serai plus sage la prochaine fois.

 

 

Transis de froid je quitte donc le stade olympique avec une seule envie : aller me réchauffer et surtout boire une bonne bière… amère bien sûr.

 

 

 

 

 

 

Amsterdam Pratique

 

  

 Transport : le meilleur moyen de transport reste le tramway. Contrairement au métro, il permet de visiter la ville et de repérer les endroits sympas.

Petite astuce : on peut bénéficier de tarifs préférentiels pour les transports en commun (tram, métro et bus) sur présentation de sa confirmation d’inscription au marathon à un bureau situé à l’entrée du Sporthallen Zuid (ex : 8 euros au lieu 10 euros pour 48h, 10 euros au lieu de 13 euros pour 72h). 

  Exemples de restaurants italiens dans le centre : 

 

- Pisa (Lange Leidsedwarsstraat 17). Cuisine correcte, serveurs sympas.

- La Bettola (sur Nieuwezijds Voorburgwal). L’un des moins chers. Cuisine modeste mais correcte.

    Les + du marathon :

  - la rapidité du parcours

  

- l’arrivée dans un stade olympique (comme à Athènes)

- les écrans géants placés dans le stade pour le public

- la serviabilité du personnel de l’organisation même s’il n’est pas toujours bien informé

-  la qualité du site internet et les photos des coureurs téléchargeables gratuitement 48h après l'épreuve sur le site www.startpagina.nl/marathon

-  une nouveauté en 2006 : la course du petit déjeuner le samedi matin. Environ 5 km entre 9h et 11h 

-  la ville et ses canaux (très agréable à visiter). Pourquoi pas un dernier entraînement avant le marathon dans le Vondelpark où l’on peut encore voir des hérons et des canards.

 

  Les – du marathon : 

-  il n’y a pas la foule des grands marathons

 

-  les imperfections de l’organisation comme le ravitaillement au 3e km (route trop étroite), le hall où se changent les coureurs devenu trop exigu (marathon + semi + 10 km : 22 000 coureurs. Un record. Il y avait 19 000 participants en 2005).

 -  la Pasta Party : le cadre (Sporthallen Zuid) et l’ambiance ne sont pas très funs. Pas de ballons ni de musique…

  A Boston et New York, c’est autre chose… Dommage.

 Restauration : il y a ce qu’il faut en matière de restaurants italiens. De nombreux restaurants chinois et asiatiques dans le quartier rouge. 

Hébergement : hôtel Nova 276 Nieuwezijds Voorburgwal. Bien situé. Près de la place Dam et à 20 mn à pied des musées (Rijksmuseum, Van Gogh museum). Pour aller chercher le dossard au Sporthallen Zuid et pour se rendre au départ le jour de la course, prendre le Tram n°16 à l’arrêt Spui sur l’avenue Rokin. Il y en a environ tous les quarts d’heure le dimanche.

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16 octobre 2006 1 16 /10 /octobre /2006 13:49

 

 

 

 

 

 

 

 L'arrivée dans le stade olympique

 

 

 

 

 

La remise des dossards dans le Sporthallen Zuid

 

 

 

 

 

 

   Petits étirements d'un coureur français avant le départ

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 L'emblême de la ville

 

 

 

 

 

   

Amsterdam, ses canaux et ses vélos

 

 

 

 

 

 

     

L'architecture typique d'Amsterdam

 

 

 

 

Un grand collectionneur sur le petit marché aux timbres et aux pièces de monnaies sur Nieuwezijds Voorburgwal 

 

Une partie d'échecs à Max Euweplein

 

Une fée de passage place Dam

 

Une enseigne à l'honneur de la bière

 

Le Rijksmuseum

 

Rijksmuseum : porcelaines chinoises

 

   Rijksmuseum : tableau d'Albert Cuyp (Rivierlandschap)

 

           Rijksmuseum : tableau de Pieter Saenredam (The Old Town Hall) représentant la place Dam à Amsterdam (17e siècle)

Rijksmuseum : tableau de Pieter de Hooch

 

 

 

 

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9 octobre 2006 1 09 /10 /octobre /2006 07:12

 5 entraînements par semaine  (60 à 70 km par semaine).

Programme de 9 semaines : programme du site runinlive.com légèrement modifié (rajout d'une séance en endurance d'1h30 à 2h) :

1. 30' endurance + 12 x 30-30 + 15' retour au calme

2. 1h30 à 2h en endurance (70%) 

3. 40' endurance + 20' à 35' allure semi-marathon (progressif au fil des semaines) + 15' retour au calme

4. 1h endurance (70-75%)

5. Sortie longue  

Sortie longue : 1h40 pour la première semaine jusqu'à 2h20 - 2h30 en fin de 5e semaine de préparation. Avec incorporé dans cette séance à chaque fois des blocs à allure marathon : de 2 x 2,5 km (première sortie longue d'1h40) à 2 x 5 km (sortie longue de 2h20). Récupération entre les blocs : entre 2 minutes 30 et 3 minutes maxi.

 

 

 BILAN :

Upgrade your email with 1000's of emoticon icons préparation intéressante pour progresser en endurance pour un chrono aux alentours de 3h30.

Upgrade your email with 1000's of emoticon icons travail insuffisant en VMA en début de préparation pour espérer viser 3h15 au marathon

 

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8 octobre 2006 7 08 /10 /octobre /2006 18:09

LE RDS SUR 5 JOURS ET DEMI

 

1ère phase hypoglucidique : du lundi matin au jeudi matin. Boire deux litres d'eau entre les repas.

2e phase hyperglucidique : du jeudi matin au samedi soir. Précision : je rajoute à chaque repas une petite part de carbocake du vendredi soir au samedi soir (soit 2 parts en tout)

Mon dernier repas le matin de la course comprend uniquement une part de carbocake et de l'eau.

Vous trouverez ci-dessous un exemple de RDS :

  

PHASE HYPOGLUCIDIQUE PREPA MARATHON D'ATHENES 2005

  

Lundi              

 

Petit déjeuner :

-  300 g fromage blanc 0%

-  thé sans sucre

-   2 tranches de jambon

-   20 g de pain sans céréales (1 tranche trois quarts)

-   une pomme

 

Déjeuner :

-   un oeuf à la coque

-   150 g blanc de dinde

-   250 g haricots au beurre

-   50 g de gruyère

-   20 g de pain sans céréales

  

Collation :

 -  une poignée de noisettes

 

 Dîner :

-   140 g de saumon

-    250 g haricots beurre + une tomate avec ail, persil et mélange d'huiles (colza, olive tournesol)

-    100 g fromage blanc 0%

-    1 poire

-    20 g de pain sans céréales

 

Mardi

 

Petit déjeuner :

Idem que lundi

 

Déjeuner : idem que lundi sauf blanc de poulet à la place de la dinde et haricots sans beurre

Collation : idem que lundi

Dîner :

-  200 g de carlet

-  3 endives vapeur

-   20 g de pain sans céréales

-   100 g de fromage blanc 0%

-   1 poire

 

Mercredi

 

Petit déjeuner :

-  300 g fromage blanc 0%

-   thé sans sucre

-   50 g de gruyère

-   20 g de pain sans céréales

-   1 pomme

 

Déjeuner :

-  1 oeuf à la coque

-  150 g de dinde

-   2 endives vapeur + 50 g haricots verts

-   50 g de gruyère

-    20 g de pain sans céréales

 

 Pas de collation

 Dîner : 

-  20 g de pain sans céréales

200 g de merlan

-   200 à 300 g de choux fleur

-   1 poire

-   2 fromages blanc 0% (2 fois 100 g)

 

PHASE HYPERGLUCIDIQUE

 

Jeudi

Petit déjeuner (premier repas hyper : exclusivement des sucres rapides). Repas à prendre idéalement après l'entraînement si l'on n'est pas trop diminué par le RDS car la phase hypo secoue pas mal l'organisme:

-  thé sans sucre + deux poignées de corn flakes

-  trois grosses tranches de pain d'épices (trois sachets de deux tranches de la marque cereal) recouvertes de miel (trois bonnes cuillerées)

-  isostar : 50 g dans 500 ml d'eau/jour : pour toute la journée

 

Déjeuner :

-  isostar (suite des 50 g dans 500 ml d'eau/jour : pour toute la journée)

-   quatre pommes de terre

-  60 g de Boulghour

-  deux tranches et demi de pain blanc (du pain complet cela aurait été mieux)

- une pomme

- un fromage blanc 0%

...

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21 septembre 2006 4 21 /09 /septembre /2006 06:19

  JUNGFRAU MARATHON  Upgrade your email with 1000's of emoticon icons

 

  

 Upgrade your email with 1000's of emoticon icons Par Patrick

 

 

 

 

 

Marathonien confirmé (près de 100 marathons à son actif), Patrick viendra régulièrement offrir son expérience sur mon blog. Aujourd'hui, il publie avec beaucoup d'enthousiasme son premier récit avec des infos pratiques essentielles. Patrick nous raconte comment il a vécu la 14e édition de la Jungfrau marathon qu'il a disputée le 8 septembre 2006. Il nous donne d'abord quelques petits conseils sur cette course...

 

 "Cela fait plusieurs années que je désirais faire ce marathon qui se déroule à Interlaken (suisse allemande).

La difficulté de s'inscrire, le lieu géographique (difficile d'accès depuis la région parisiennne) et le profil de ce marathon (fort dénivelé) en sont les causes.

 Inscription : il faut se pré-inscrire vers octobre-novembre et décembre-janvier. Ensuite il y a une loterie fin février car cette course est limitée à 4000 coureurs par tirage au sort. Dès le tirage vous recevez un avis pour payer l'inscription avant fin avril.

 Transport : de la gare de l'Est à Paris il faut environ 8 heures de train avec un changement à Bâle (départ 7h00, arrivée à 15h00 à Interlaken).

C'est un marathon magnifique mais du 15e au 25e km on passe de 652 à 752 mètres puis du 25e km au 41e à 2100 m!

 Logistique : la Suisse est un pays très cher alors je conseille de prendre un logement chez BACPACKERS VILLA PARK à Interlaken pour 22 euros la nuit. C'est un dortoir (maximum 6 personnes), avec inclus le petit déjeuner, les draps... c'est très propre. De plus vous serez sûrement avec d'autres concurrents d'autres nationalités et le service est sympa en Français et accueillant. De plus l'hôtel est à 500 m de la gare et à 300 m du départ et de l'emplacement pour le retrait des dossards.

Le retrait des dossards se fait au casino KURSAAL lieu somptueux à la hauteur de l'épreuve, l'expo marathon est bien. Vous pouvez participer à la pasta pour 10 euros (et oui, ils prennent les euros !). Le soir de la course vous pouvez assister à la projection du film du marathon. Vous avez également la possibilité de vous restaurer pour 10 euros au même endroit.

 

L'EPREUVE DU 08/09/2006

Départ à 9 heures. Température : 20 degrés. Prévisions pendant la course: 25 degrés, donc soleil et beau temps. Le parcours est plat jusqu'au 10e km avec la traversée de Gsteigwiler, virage à droite et première petite côte. Superbe ambiance dans tous les villages. De plus, le paysage est déjà magnifique.

Lauterbrunnen et Wengen sont d'autres villages avec un public très chaleureux comme sur le tour de France et toutes les cloches sonnent à notre passage.

Compte tenu des difficultés à venir je déroule et passe le semi en 1h55 mn. Je profite des paysages et de l'ambiance.

Dès le 26e km c'est un mur !  Impossible de courir car trop pentu. La distance parcourue est maintenant indiquée tous les 250 mètres et ceux qui sont partis trop vite commencent à le payer très cher.

Par contre, les paysages sont absolument grandioses et magnifiques. Prenez votre appareil photo jetable.

Les ravitaillements sont bien fournis (dans l'ordre : boisson isotonique, thé et eau) + bananes, barres de céréales, sucre, etc...

Du 26e au 39e km, c'est très difficile de doubler. 95 % des coureurs marchent... ça coince.

Dès le 39e km, tout change et là c'est démentiel.

Du 39e au 41e km nous sommes tous à la queue leu leu et impossible de doubler car c'est très dangereux. On aperçoit les sommets enneigés d'Eiger Monch et de Jungfrau à plus de 4000 m.

Beaucoup de coureurs ont des crampes et se tordent de douleur.

Puis virage à gauche et 500 m de crêtes avec un Ecossais qui joue de la cornemuse. C'est l'endroit symbolique de ce marathon (gravé dans la médaille). Nous sommes à 1,5 km et nous sommes tous au maximum de nos capacités. Même les premiers marchent... et les mains sur les cuisses.

Arrive le 41e km, puis la descente folle du dernier km et enfin la banderole avec une ambiance indescriptible.

La JUNGFRAU est une épreuve mythique. Quelle course !

Mon temps : 4 h 55 mn  - 1101e sur 3300 arrivants. ATTENTION beaucoup de coureurs ont été arrêtés par l'organisation car ils étaient hors délai (maxi 6h30)

On récupère nos affaires, on nous donne une splendide médaille argentée et millésimée + un splendide tee-shirt avec une nouvelle texture.

Il y a des douches sur place et vous repartez par le petit train (gratuitement) vers Interlaken (1h30 de trajet). Attention : changement à Lauterbrunnen.

En conclusion : à faire absolument mais avoir une très bonne condition physique et en garder sous le pied jusqu'au 26e km.

ORGANISATION PARFAITE A LA SUISSE. TRES BON ACCUEIL.

Sûrement l'un des plus beaux marathons du monde.

Autres photos de Patrick sur :

http://www.jungfrau-marathon.ch/ws/  (dossard 350, patrick drzewiecki)

 


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5 août 2006 6 05 /08 /août /2006 07:46

 

     ATHENES

 

 


















Un marathon mythique où souffle l'esprit des jeux olympiques.
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Départ de Marathonas. Parcours difficile à l'exception des 9 derniers kilomètres légèrement en descente. Pour un coureur valant 3h45 à Londres, comptez 10 minutes de plus. Il est possible de réaliser un negativ split sur ce parcours pourtant très dur à condition d'être en-dessous de l'allure marathon jusqu'au semi-marathon. 

Et surtout savourez l'arrivée dans le Kallimarmaro (beau marbre en grec) aussi appelé Panathinaïko stadium. Stade refait en marbre en 329 avant JC puis rénové et agrandi en 140 après JC. Upgrade your email with 1000's of emoticon icons

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5 août 2006 6 05 /08 /août /2006 07:46

LONDRES

L'un des marathons les plus rapides. Certains passages étroits peuvent poser des problèmes pour dépasser d'autres coureurs, l'avantage en revanche c'est que l'on sent bien la présence du public et les encouragements. Sympa la zone d'attente avant le départ dans un immense parc au sud de Londres !

  

 

A VOIR EN MARGE DU MARATHON:  le British Museum :

 

 

 

 

 

...Tower Bridge :  le mécanisme du pont

 

 

 ...Le musée de Wimbledon :

 

...La Tour de Londres, Buckingham Palace, la relève de la garde, Westminster, Big Ben, le musée de Madame Tussaud, la maison de Sherlock Holmes, les matches de foot...

 

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